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Banquier, Maître Universel

11 Dic

Banquier, Maître Universel

 – Leçon d’un compte de banque

Conversation entre deux clients :

(…) Avez-vous un compte de banque ?

(…) Oui. Oh ! Pas bien gros. Quelques centaines de dollars seulement.

(…) Vous en servez-vous quelque fois pour faire des paiements ?

(…) Oui, quand j’achète un article qui coûte cher, ou bien quand je fais venir de la marchandise de loin. Je signe un chèque. C’est bien commode.

(…) En effet, c’est tellement commode que plus de 90 pour cent des transactions commerciales se règlent ainsi, par des chèques. Non pas les petits achats chez le marchand du coin ; mais les transactions des grossistes, des industriels, des compagnies de transport. Le chèque est le grand moyen de paiement aujourd’hui; il laisse dans l’ombre, à une place minuscule, la monnaie de métal et de papier.

(…) Mais quand on fait un chèque, c’est la banque qui va payer pour le signataire. Pour chaque chèque signé, il faut donc autant d’argent de métal ou de papier que le banquier remettra au destinataire.

(…) Non pas, mon cher. Il suffit d’un peu d’argent pour faire face à beaucoup de chèques. Le marchand à qui vous envoyez un chèque ne va pas ordinairement demander au caissier de sa banque de lui donner de l’argent pour le montant du chèque. Il va simplement déposer le chèque. Le crédit de son compte augmentera d’autant; et votre compte, à vous, sera débité d’autant.

(…) Puis ce marchand-là commandera du stock à des fournisseurs; il paiera avec des chèques. Les fournisseurs déposeront les chèques reçus à leurs banques. Cette fois-là, ce sont les comptes des fournisseurs du marchand qui verront augmenter leur crédit, et c’est le compte du marchand qui sera débité du même montant.

(…) Dans toutes ces transactions-là, ce sont simplement des montants qui changent de place dans les comptes : débit dans un compte, crédit dans un autre.

(…) Dans l’ensemble, pour chaque $100 en argent de chèque, il n’y a pas plus de $10 en argent de métal ou de papier qui passe le guichet de la banque. C’est ce qui résulte des habitudes actuelles du commerce, et le banquier le sait bien. Cela permet aux banques de prêter dix fois plus d’argent qu’elles en ont.

(…) Hein, que dites-vous là ? Comment un banquier pourrait-il prêter de l’argent qu’il n’a pas ?

(…) En créant l’argent qu’il prête. C’est ce que la banque fait couramment. Elle crée l’argent qu’elle prête. Le banquier est essentiellement un créateur d’argent.

(…) C’est incompréhensible ! C’est incroyable !

(…) Vous m’avez dit que vous aviez un petit compte de banque, mon ami. Votre compte est fait de vos épargnes, n’est-ce pas ?

(…) Oui, c’est de l’argent que j’ai porté et déposé à la banque.

(…) C’est bien. Mais il y a des gens qui ne portent pas d’argent à la banque, et qui sortent de la banque avec un compte bien plus gros que le vôtre.

(…) Je ne comprend pas !

(…) Non ? Il y a par exemple, M. Toupin, le manufacturier de votre ville. Il voulait agrandir son usine. Tout le monde approuvait son projet. Mais il lui manquait l’argent pour payer les matériaux, les constructeurs et la machinerie. Il calculait qu’avec $100,000 sous la main, il pouvait réaliser ses plans et plus tard, avec une production et des ventes accrues, il rembourse- rait facilement les $100,000.

(…) Qu’a fait Toupin ? Il est allé à la banque. Il n’y a pas porté d’argent. Mais il en est sorti avec $100,000 à son compte.

(…) Je crois bien, car il a emprunter cette somme.

(…) C’est cela. Mais c’est la manière dont la banque a fait le prêt qui est merveilleuse. Si vous étiez riche et que M. Toupin était venu emprunter les $100,000 de vous, il serait parti avec les $100,000, mais vous auriez $100,000 de moins. Tandis qu’avec la banque ça se passe autrement : M. Toupin sort avec $100,000 qu’il n’avait pas et la banque n’a pas un sous de moins.

(…) Vous ne me dites pas ?

(…) C’est pourtant bien cela. Oh ! On a demander des garanties à M. Toupin. Il lui a fallu déposer des valeurs pour couvrir le prêt. Pas de l’argent car il n’en avait pas, puisqu’il venait en chercher. On lui a demander des titres de propriété, tel que son commerce et sa résidence ainsi que son véhicule en garantie pour plus que la valeur de $100,000. Puis le gérant lui a signé un chèque de $100,000, et l’a envoyé au caissier.

(…) M. Toupin n’était pas pour demander $100,000 en argent de papier et emporter cette somme avec lui. Il a donc déposer ce chèque dans son compte et le montant de $100,000 a été inscrit à son crédit (comme quand vous, vous déposez vos épargnes). M. Toupin est sorti de la banque avec un crédit sur lequel il tire des chèques pour payer l’entrepreneur, à mesure que les travaux avancent. Mais par la suite, il s’est engagé à retirer cette argent de la circulation afin de rembourser cette emprunt dans un an.

(…) Et vous dites que le banquier n’a pas un sou de moins qu’auparavant !

(…) Pour vous en convaincre, on pourrait en parler avec le gérant. C’est un de mes amis et il est assez franc avec moi. Il sait d’ailleurs que je suis au courant de l’emprunt de M. Toupin et il n’invoquera pas le secret professionnel.


Conversation entre le banquier et les deux clients :

(…) Monsieur le gérant, je viens vous taquiner comme j’en ai l’habitude, sur les affaires de banque.

(…) Encore des questions de crédit ?

(…) Justement. C’est pour le prêt de $100,000 que vous avez fait à M. Toupin. Voulez-vous dire à mon ami ce que vous avez prêté au juste à M. Toupin ?

(…) Ce qu’on prête toujours mon cher ami, de l’argent.

(…) Assurément. Mais, dites-nous donc, où était cette argent avant que M. Toupin entre dans votre banque ?

(…) La question est absurde et vous le savez bien.

(…) Pas du tout. M. Toupin entre sans argent en mains et il en ressort avec $100,000, donc vous avez pris cette argent quelque part. Donc il y a $100,000 de moins quelque part dans les coffre de votre banque ?

(…) Hum !

(…) Y a-t-il $100,000 de moins dans vos tiroirs ou dans votre voûte ?

(…) Allons donc, il n’a pas emporter de piastre avec lui. C’est un crédit dans son compte.

(…) Bon. Alors, d’autres comptes sont débités, diminués pour ce montant de $100,000. Des comptes de vos clients ?

(…) Ridicules. L’argent de nos clients est sacré. Leurs comptes restent intacts, tant qu’eux-mêmes ne les débitent pas.

(…) Comment ? Ce n’est pas l’argent des déposants que les banques prêtent?

(…) Mais si. Mais non. Si, non. Oui d’une certaine manière, non de l’autre. On ne touche pas à leurs argent; cet argent est à eux. Mais ça nous permet de prêter de l’argent à des emprunteurs.

(…) Alors dite-moi, quel argent prêtez-vous ?

(…) De l’argent qui vient de la banque.

(…) Vous venez de me dire qu’il n’est pas sorti un sous de votre banque et pas un sous des déposants non plus. Et M. Toupin a quand même $100,000 qu’il n’a pas apportés avec lui et qu’il n’avait pas auparavant. Est-ce exact?

(…) Je ne peut pas dire le contraire, c’est exact.

(…) Alors, où étaient ces $100,000 avant que M. Toupin vienne à la banque?

(…) Bien… ils n’étaient nulle part. Il fallait bien qu’il vienne les emprunter pour qu’il soient là maintenant.

(…) Ils n’existaient pas auparavant ?

(…) Non.

(…) Alors, il sont venus au monde au moment du prêt. La banque crée donc l’argent qu’elle prête.

(…) Je n’aime pas tellement dire cela.

(…) Mais vos grands chefs le dise bien. Towers l’a dit quand il était gouverneur de la Banque du Canada. Eccles l’a dit lorsqu’il était à la tête du système bancaire des Etats-Unis. McKenna l’a dit, il y a déjà cinquante ans, quand il était président de la plus grosse banque commerciale d’Angleterre et qu’il parlait à des banquiers lors d’une assemblé. Ne soyer donc pas scrupuleux, la banque crée l’argent qu’elle prête. Il faut bien d’ailleurs que l’argent commence quelque part , n’est-ce pas ? Tous les gouvernements nous disent que ce ne sont pas eux qui font l’argent, ils se contentent de taxer. Les travailleurs, eux, se contentent de suer et les industriels se contentent de produire. Il ne sort jamais d’argent au bout de leurs machines; mais il en sort au bout de la plume du banquier.

(…) On ne vous en veut pas, monsieur le gérant. On est même content que l’argent moderne soit si facile à faire. Mais ce qu’on n’aime pas – et ce n’est pas plus votre faute que la guerre n’est la faute du petit soldat – ce qu’on n’aime pas donc, c’est que le système bancaire se considère le propriétaire de l’argent ainsi créé, alors que cet argent est réellement la propriété de la société.

(…) Expliquez-moi cela.

(…) Brièvement, voici : sans l’existence d’une société productrice, avec une vie économique organisée, cet argent ne vaudrait rien. Les richesses du pays c’est les ressources naturelles, le travail de la population, les techniques de production, c’est tout cela qui confère de la valeur aux $100,000 sortis de votre encrier pour M. Toupin.

(…) Vous oubliez mon cher ami que M. Toupin a déposé des valeurs de tout premier ordre en garantie avant de pouvoir obtenir cet emprunt et c’est de cela que les $100,000 tirent leur valeur.

(…) Non, monsieur le gérant. Ces gages déposés par M. Toupin sont pour vous une garantie de remboursement, sinon vous raflez les valeurs mis en gages. Mais ne confondez pas garanties de l’emprunt avec valeurs de l’argent. S’il n’y avait que ces garanties-là dans le pays, s’il n’y avait pas de production, pas de fermes, pas d’usines, pas de transport, pas de magasins, pas de vie économique, les $100,000 n’auraient aucune valeur monétaire, malgré toutes les garanties déposées par M. Toupin.

(…) C’est tout le pays, c’est toute la richesse du pays, c’est toute la population du pays qui donne de la valeur à l’argent, n’importe par quel organisme il est créé. Cet argent à son origine, appartient donc en réalité à la population du pays elle-même. Qu’il soit prêté à M. Toupin pour agrandir son usine c’est très bien, mais c’est toute la population du pays qui doit en profiter. Au lieu de procurer des intérêts au banquier, le développement du pays doit procurer des dividendes à toute la population.

(…) Cet accaparement du crédit de la société par les institutions bancaires est la plus grande escroquerie de tous les temps et la plus solidement installée dans tout les pays civilisés. Sa force et son universalité ne la légitiment pas, elles ne font que la rendre plus odieuse.

(…)Toutes les dettes publiques, municipales, provinciales, nationales, ont leurs origine dans cette grande escroquerie. La population bâtit le pays et le système endette la population à mesure qu’elle bâtit.

(…) Les corps publics, les gouvernements font comme M. Toupin, ils empruntent et ils déposent en garantie des obligations, des hypothèques sur nos maisons, des promesses de taxer la population.

Les gouvernements sont petits à côté des puissances de l`argent.

Source : La Conscience membres.lycos.fr/laconscience

PEDOFILIA E POTERE

11 Dic

Pedofilia e potere

 

Rimbalza da giorni una notizia riguardante Gordon Brown, primo ministro inglese.
Come riportato in un reportage di Mike James [1], Gordon Brown sarebbe un pedofilo e le sue abitudini note alle autorità internazionali da molto tempo.

Quando si parla di pedofilia (filia? sic!) bisogna tenere ben in mente che la questione è molto ampia e tocca ambiti e personaggi parecchio in alto nella scala del potere. Ambiti ‘intoccabili’ e perciò ben protetti agli occhi della popolazione.

Tony Blair, Gordon Brown e i loro più intimi amici nel governo laburista furono accusati di far parte di una rete di pedofili ad altissimo livello, che praticavano rituali perversi quali «prove iniziatiche» di stampo massonico per accedere ai vertici di organi sovrannazionali.
Sulle indagini è stato posto il segreto di stato dal governo di Sua Maestà Britannica.. [2]

Questo accadeva nell’ormai lontano 2003, quando gli angloamericani erano impegnati a far accettare la “guerra al terrorismo” in sperduti paesi del Medio Oriente. La pentola a pressione è stata raffreddata dai servizi segreti fino ad oggi, per non intralciare quell’immane sforzo mediatico che i governi stavano portando avanti.

Brown sarebbe addirittura implicato nel massacro di sedici bambini e di un insegnante nella scuola scozzese di Dunblane avvenuto nel 1996.
Il crimine sarebbe stato commesso dal massone Thomas Hamilton, ma l’arma con proiettili esplosivi gli fu data da lord Cullen, membro della ‘Scottish Mafia’, la presunta lobby laburista di politici e imprenditori di cui è membro Gordon Brown, lo stesso Tony Blair e John Reid.
I fatti, oltre che da James, sono ampiamente documentati anche da altri giornalisti. [3]

I boss della NATO e l’insider del governo Blair Lord Robertson hanno minacciato di citare in giudizio l’importante quotidiano indipendente della Scozia in relazione alle affermazioni, su internet, riguardo non solo l’uso della loro influenza come massoni per concedere il porto d’armi all’infanticida Thomas Hamilton, ma anche come membro del circolo clandestino dei pedofili, che secondo Hamilton è stato creato per la élite inglese.
Il 13 Marzo 1996, Hamilton, armato di quattro pistole, sparò in una scuola elementare, uccidendo 16 bambini e un insegnante prima di volgere su se stesso l’arma, sconvolgendo la idilliaca cittadina scozzese del 13° secolo di Dunblane. [4]

Le ultime prove vengono alla luce dalla campagna per togliere il segreto sul massacro di Dunblane. Ampi stralci dei rapporti della polizia sono posti sotto segreto per 100 anni.
Lord Cullen, un insider del sistema, ha omesso e censurato i riferimenti ai documenti nel suo rapporto finale.

Genitori e insegnanti sono stati consigliati di concentrare i loro sforzi sulla campagna per mettere fuori legge le armi da fuoco, invece di dedicarsi su come un massone squilibrato, noto dalla polizia per essere un pedofilo, abbia ottenuto un porto d’armi per sei pistole.

Hamilton aveva buone relazioni con il locale notabile del Labour George Robertson e con Michael Forsyth, già segretario di stato scozzese e deputato per Stirling. Forsyth si congratulò e incoraggiò Hamilton a partecipare nel boy’s club. Hamilton si scoprì avere uno scambio epistolare con la regina Elisabetta.

Le voci e le affermazioni riguardo i legami di Lord Robertson con Hamilton, e la possibilità che l’intelligence USA stia ricattando Tony Blair per un continuo supporto all’invasione USA dell’Iraq, è stato preso di mira dall’investigatore internet ed esperto d’intelligence Michael Keaney:
“Un ulteriore e potenzialmente esplosivo aspetto della pressione USA su Blair è l’investigazione della FBI sui visitatori di siti pedofili che ha già raggiunto un elevato numero di persone importanti.
(…)
Ma la cosa importante è che la sezione dell’inchiesta che spiega tutto è secretata per 100 anni.
Ci sono solo tre livelli di segretezza nel Regno Unito, di 30 anni, di 80 anni e di 100 anni.
I segreti normali, come gli appunti del governo, documenti, spionaggio, tutto ciò, hanno il primo livello di segretezza.
Solo pochissime cose raggiungono il secondo livello, particolarmente i fatti in Sudan di Kitchener nel 1902, dove sembra abbia commesso un genocidio, e qualche evento della guerra del 1914-18, i potenziali negoziati di pace del 1941, e alcuni fatti correlati con l’IRA. Per essi, i più oscuri segreti di stato, come i fatti del 1902, quando si è andati assai vicino ai loro limiti, venne creato l’ultimo livello di segretezza.
Ma nessuna di tali cose può essere applicata ai fatti di Dunblane.
Un fatto di criminalità comune e di perversione sessuale, commesso da un volgare omicida, come spesso accadono. Persino un oscuro deputato del Labour è stato coinvolto, o avrebbe dovuto essere coinvolto un ampio circolo di pedofili in Scozia, la cosa non è un problema di vitale importanza nazionale.
Vi è una indagine, vi sono molti scandali, tutti sono disgustati e un deputato finisce in prigione. Grandi affari: queste cose accadono.
Certamente non fai di tali fatti un segreto di stato al solo scopo di salvare una oscura nullità. Il Governo semplicemente non dedica tanto tempo e risorse per salvare nessuno – il potere non opera così.
Vi sono problemi di notevole interesse nazionale coinvolti qui, e io dico che nessuno che sia coinvolto in certi eventi in Scozia è più simile a qualcuno del governo.” [4]

Ricordate il “mostro di Marcinelle”?
Marc Dutroux, l’anonimo elettricista belga condannato per il rapimento e stupro di sei ragazzine: una vicenda che è stata soffocata mediaticamente per le implicazioni a cui stavano portando le indagini.
Come si legge in vari punti del blog di Paolo Franceschetti:

(…) il punto è che le notizie sono quasi scomparse.
Quel poco che so, è la solita storia..
Nei fatti di Marcinelle gli investigatori a un certo punto erano arrivati ai cosiddetti personaggi insospettabili convolti in questa atroce vicenda: Reali del Belgio (massoni), alcuni vescovi, politici importanti.
Gli investigatori che se ne sono occupati sono morti tutti.
Uno è uscito di strada in un rettilineo, ad una velocità stimata di 80 km orari… Incidente.
Uno si sarebbe suicidato con tre (3!) colpi di pistola.
Altri si sono impiccati…
e così via.
Stesse tecniche operative che troviamo nella morte dei testimoni di Ustica, Moby Prince, Mostro di Firenze, Strage di Bologna, ecc. [5]

Per chi ancora pensa che i pedofili siano quei quattro anonimi ignoranti di paese, che ogni tanto vengono scoperti e arrestati, o per chi si chiede come mai le autorità non si muovano con più solerzia e decisione verso lo smantellamento di quella che è una vera rete intenazionale di pedofili..

Leggete i link compresi nelle note qui sotto, e soprattutto questo articolo, che raccomando vivamente e di cui riporto solo una minima parte; più questo e altri dal sito del compianto Giuseppe Cosco.

Nell’affare Dutroux c’è di tutto: pedofilia, omicidi, necrofilia, snuff-film e personaggi dell’alta società belga, del mondo dell’alta finanza, della politica, etc.
E’ anche strano che ad oggi l’inchiesta non abbia portato ancora a nulla circa i complici del Dutroux, anzi, sembra essersi arenata. Sono tanti i misteri. Dutroux aveva già ricevuto nell’89 una condanna di 13 anni di carcere per aver sequestrato e violentato, a più riprese, due minorenni nel 1985 e la sua compagna Michèle Martin è stata condannata a sei anni di carcere per analoghe imputazioni.
Ma i due non hanno scontato totalmente la pena, avendo ottenuto la grazia direttamente dal re. [6]

Un numero incredibile di persone scompare ogni giorno nel nulla, soprattutto giovanissimi. Molti di loro si trovano, di altri non se ne sa più niente. E’ come se si fossero volatilizzati, spariti. Nel mondo spariscono ogni anno molte migliaia di persone. [7]

Nel 2008 in Italia i bambini scomparsi “ufficialmente” e non ritrovati sono oltre 600. [6]

—-

NOTE:

[1] Revealed: British Premier Gordon Brown Is A Paedophile
[2] Forum “Israele (e altri) paradisi per pedofili” (forum)
[3] Gordon Brown è un pedofilo, un altro dossier pronto ad esplodere
[4] La protezione di Blair alla cerchia elitaria dei pedofili
[5] La massoneria è una Harley Davidson che non mi posso permettere (commenti all’articolo)
[6] Il mistero pedofilia (forum)
[7] Orrori sui bambini e imperialismo satanico

 

( Fonte: http://www.novoordo.blogspot.com )

ECONOMIA ISRAELIANA PER PRINCIPIANTI

11 Dic

09 febbraio 2011

 

ECONOMIA ISRAELIANA PER PRINCIPIANTI

Apprendiamo sia dalla stampa che da analisti politici che, contro ogni previsione e nonostante le gravi turbolenze finanziarie globali, l’economia israeliana risulta essere in piena espansione. Alcuni suggeriscono addirittura che quella di Israele sia una delle economie più forti al mondo.

di Gilad Atzmon

“Come mai?”, ci si potrebbe chiedere, oltre avocado, arance e forse qualche prodotto di bellezza del Mar Morto, in realtà nessuno di noi ha mai visto un prodotto israeliano sugli scaffali dei negozi. Non fanno automobili, né prodotti di elettronica o elettrodomestici e praticamente non producono alcun bene di consumo. Israele afferma di possedere avanzate tecnologie hi-tech ma, comunque, l’unico software avanzato di Israele che si sia mai impiantato nei nostri computer è stato il suo Troian Sabra (4). Nelle terre che hanno espropriato con la forza agli indigeni palestinesi, devono ancora trovare minerali redditizi o petrolio.

 

Ma, allora di cosa si tratta? Come è possibile che Israele sia impermeabile al disastro finanziario globale?
Come fa Israele ad essere così ricco?

Israele è ricco perché, secondo il Guardian, “dei sette oligarchi che negli anni ‘90 controllavano il 50% dell’economia Russia, sei sono ebrei”. Negli ultimi due decenni, molti oligarchi russi hanno acquisito la cittadinanza israeliana. Hanno inoltre reso sicuro il loro sporco denaro investendo in beni rifugio kosher; Wikileaks ha recentemente rivelato che “fonti della polizia (israeliana) stimano che la criminalità organizzata russa (mafia russa) abbia riciclato più di 10 miliardi di dollari in partecipazioni azionarie israeliane”. [1]
L’economia israeliana è in piena espansione anche a causa di mega truffatori come Bernie Madoff che per decenni hanno canalizzato il loro denaro tramite sionisti e istituzioni israeliane. [2]

 

Ma Israele va “bene” perché è l’operatore leader in diamanti insanguinati. Lungi dall’essere sorprendente, Israele è anche il quarto maggior rivenditore di armi di questo pianeta. Chiaramente, i diamanti insanguinati e le armi stanno dimostrando di costituire un grande affare.
Come se ciò non bastasse, Israele prospera anche perché, ogni tanto, viene scoperto essere impegnato nel traffico e nell’incetta di organi umani.

 

In breve, Israele sta meglio di altri Paesi perché gestisce una delle economie più sporche-e-non-etiche del mondo. A dispetto delle iniziali promesse sioniste di creare un’etica civile ebraica, Israele è riuscito a sviluppare con le sue istituzioni un eccezionale livello di svendita del diritto internazionale e dei valori universali. Israele funziona come un rifugio sicuro a livello mondiale per i soldi creati in qualche orrenda attività criminale. E impiega uno dei più forti eserciti del mondo per difendere la ricchezza di una manciata dei più ricchi ebrei esistenti.

 

Sempre più spesso, Israele sembra essere nient’altro che un colossale luogo di riciclaggio di denaro sporco, un paradiso per oligarchi ebrei, truffatori, commercianti d’armi, trafficanti di organi, per la criminalità organizzata e per commercianti di diamanti che grondano sangue.
Una tale realizzazione può certamente spiegare il perché Israele sia totalmente impermeabile alla parità sociale all’interno dei suoi confini.

 

Poveri israeliani

Da quando Israele si autodefinisce uno stato ebraico, ci si aspetterebbe che il popolo ebraico sia il primo a beneficiare del boom economico del suo paese. Ma pare che non sia affatto così. Nonostante la potenza della sua economia, il record di Israele in materia di giustizia sociale è spaventoso. Nello stato ebraico 18 famiglie controllano il 60% del valore patrimoniale netto di tutte le aziende del paese. Lo Stato ebraico è incredibilmente crudele con i suoi poveri. Per quel che riguarda il divario tra ricchi e poveri, Israele è quotato tra i primi nelle classifiche.

Il significato di tutto ciò è abbastanza devastante: anche se Israele agisce come un stato etno-centrico razzialmente orientato, e dall’impostazione tribale, sta dimostrando di essere totalmente incurante dei membri della sua tribù. Nello Stato ebraico, in realtà, qualche milione di ebrei è al servizio dei più oscuri interessi i cui frutti vengono goduti da pochissimi ricchi scellerati.

 

Una cortina di fumo

 

Ma il significato implicito in tutto questo è più profondo e molto più devastante. Se la mia visione dell’economia israeliana è corretta, e Israele è davvero un mostruoso paradiso cash per i soldi più sporchi in circolazione, allora il conflitto israelo-palestinese è, perlomeno dalla prospettiva dell’élite israeliana, nient’altro che una cortina di fumo.

 

Spero che i miei lettori ed amici mi perdoneranno per averlo detto – mi auguro che io stesso mi possa perdonare per averlo detto – ma parrebbe che il conflitto israelo-palestinese e che gli orrendi crimini di Israele contro il popolo palestinese servano in realtà solo a distogliere l’attenzione dalla complicità di Israele in alcuni dei colossali crimini globali contro vaste popolazioni di tutto il mondo. Noi, invece di afferrare l’esistenza di questo sforzo dettato da una inesorabile ingordigia per afferrare le ricchezze a spese del resto dell’umanità, ci stiamo tutti concentrando su un singolo conflitto territoriale che porta di fatto alla luce un solo aspetto criminale del devastante progetto nazionale ebraico.

 

E’ più che probabile che la stragrande maggioranza degli israeliani non riescano anche a rilevare il ruolo ingannevole del conflitto israelo palestinese. Gli israeliani sono indottrinati a guardare ogni  possibile questione dal punto di vista della sicurezza nazionale. Essi non sono riusciti a rendersi  conto che durante la intensiva militarizzazione della loro società, il loro stato ebraico è diventato un rifugio per il riciclaggio di denaro e per i criminali di tutto il mondo.
Ma qui c’è una cattiva notizia per Israele e per la sua élite corrotta. E’ solo una questione di tempo prima che russi, americani, africani, europei, tutta l’umanità comincino ad comprendere tutto. Siamo tutti palestinesi e noi tutti abbiamo lo stesso nemico.
Vorrei anche andar oltre, e pronosticare che è possibile che, tra non molto, alcuni semplici ebrei ed israeliani comincino a rendersi conto di quanto ingannevoli e biechi sono veramente Israele e il sionismo.

Note:
[1]  Per ulteriori informazioni sulle connessioni globali della criminalità organizzata con il Likud o altri grandi partiti politici israeliani segui questo link: http://cosmos.ucc.ie/cs1064/jabowen/IPSC/php/topic.php?tid=147
[2]  Inoltre, si dice che, prima di fallire, la Lehman Brothers abbia trasferito 400 miliardi di dollari alle banche israeliane. Io non sono in grado di fornire alcuna prova di queste teorie, tuttavia esse mi suggeriscono con forza che sia di una certa urgenza scoprire se queste accuse siano veritiere.

Traduzione per Voci Dalla Strada a cura di OLD HUNTER

 

( Fonte: http://www.vocidallastrada.com )